Votre histoire

Je suis né sur l’ile du Flambeau, ma mère ne voulait pas de moi. Et elle m’avait abandonné dans une ruelle dans les déchets, mais en partant, l’enfant que je fis se mit à hurler de faim. Les habitants attiré par ses hurlements de détresse découvrirent l’horrible scène. Le lendemain ma chère mère fut pendue et moi déposé à l’orphelinat. A l’orphelinat j’étais bien, malgré les conditions extrêmes de vie, j’étais le meneur, l’agitateur. J’avais beau avoir peur je n’en étais pas moins intrépide et courageux. Mon caractère c’était très vite forgé : violent, impulsif, sociable, drôle. Avec mes amis de l’orphelinat qui étaient pour moi comme mes frères et sœur nous allions espionner les filles entre deux corvées, je ne comptais même plus le nombre de fois que j’avais été battu. En grandissant je devais m’occuper des plus jeunes, je rêvais d’autre choses mais je ne me plaignais pas vu que la moitié de mes camarades avaient été vendu pour la survie de l’orphelinat. Moi, Caleb Ares Rivers, je restais des heures sur le quai à attendre d’apercevoir le magnifique bateau du flambeau. Finalement à l’âge de 12 ans je fus vendu à mon tour. Un vieux forgeron était désormais mon tuteur, il n’avait pas de descendance et voulait que sa boutique survive. J’apprenais tout ce qu’il avait voulu m’enseigner sur la construction des armes, j’étais doué et mon tuteur admirait mon talent avec des étoiles plein les yeux. Je n’avais que 14 ans quand il mourut, la même année où l’ile du Flambeau avait été incendiée par Lansalder. J’avais combattu ce jour là, du coté de Lansalder auprès de qui je songeais avoir ma place sur le navire. Je dus attendre mes 15 pour être engagé. D’abord pour entretenir les armes, puis pour être matelot à l’âge de 17 ans, cependant souvent on me demande des armes car une fois un pied à terre, il retournait dans la boutique pour forger de nouvelles épées.

Ma nouvelle vie de pirate à entrainé l’accentuation de certains points de mon caractère : l’impulsivité, la violence, l’alcoolisme, les mauvaises fréquentations, le mensonge, la sournoiserie... Je me suis également mis à fréquenter toutes sortes de demoiselle, y compris les catins ce qui m’avait fallut de manquer de mourir de la syphilis, et né à partir de cette survie miraculeuse, la phobie de la maladie. Je suis devenu un excellent tireur, mais pas meilleur tireur que manieur de l’épée, je suis un très bon duelliste. J’ai foie en la piraterie et la main de Midas est pour moi un rêve. Pour aider mon capitaine à l’obtenir, je suis prêt à tout. C’est pourquoi je me suis fiancé avec la sœur du capitaine Thunder de L’Amazone pour semé la zizanie. Pauvre fille naïve est persuadée que je l’aime...

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